L’augmentation annoncée des températures va d’abord affecter les écosystèmes et les êtres vivants qui en dépendent, en particulier par l’érosion de la biodiversité et la récurrence de phénomènes de pullulations. Nous voulons ici porter un regard sur les écosystèmes arides, notamment les oasis à palmiers dattiers qui ont permis la sédentarisation de l’homme, autrefois nomade. Sans cette espèce végétale et le mésoclimat qu’elle peut offrir, le Sahara n’aurait jamais pu être aussi peuplé.
Cet article paru dans la revue SESAME (sciences et société, alimentation, monde agricole et environnement) du 20 juillet 2018 parle de l’oasis et la menace climatique.
L’auteur, M. Khaled Amrani, doctorant en agronomie dans la spécialité développement durable des régions sahariennes et chargé d'études labellisé CONEX (conseil et expertise) à l'université Grenoble-Alpes en France, aborde les thèmes suivants dans le document :