Avec leur capacité de production agricole (dattes, fruits, légumes, canne à sucre, natron et sel), ces oasis peuvent contribuer à renforcer la sécurité alimentaire dans ces immensités arides mais aussi à créer de l’emploi et ainsi fixer les populations en partie concernées par les questions migratoires. Elles constituent également des relais possibles d’organisation et de sécurisation de ces territoires et une source de revenus considérable pouvant permettre le développement de ces régions.
Dans ce document qui nous fait découvrir les problématiques des zones oasiennes au Niger, l’auteur a développé les points suivants :
Cette étude sur les oasis du Niger a été réalisée dans le cadre du troisième programme d’action concertée des oasis (PACO3) du RADDO, coordonnée par le CARI et soutenue par l'AFD. Elle a été rédigée en mars 2016 en partenariat avec l’association Almadeina basée à Ingall au Niger.
En publiant cette étude sur la problématique oasienne au Niger, Almadeina et le CARI, tous deux membres du RADDO, apportent leur contribution à la prise en compte de la question oasienne en zone saharienne.